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Baiser. Que de misères n'oublions-nous pas dans ces secondes de vertiges !

Et le châtiment, au sortit de ces enlacements, c'est le retour à la lucidité, le reflux du passé qui revient, de l'avenir qui se déssine...


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VERTIGE PLUME

C'était l'été 2005, j'étais en compagnie de ma cousine Sarah à bord d'une voiture louée à Paris et nous nous rendions à une plage déserte, un endroit des plus reculés dans le sud de la France. J'étais assez jolie selon les dires des mecs de la fac mais Sarah, quant à elle, était une pure beauté. En fait, la première fois qu'il m'eût été permis de voir une représentation de Cléopâtre, c'est le visage de Sarah que je croyais contempler et depuis, je m'étais toujours imaginé la déesse égyptienne selon son visage : profil racé, un grain de peau lumineux et sombre à la fois, un nez fin et droit, une bouche pleine et sensuelle, un corps voluptueux et des seins fermes, une chevelure dense et noire comme l'ébène ainsi qu'un regard sévère qui ne trahissait jamais ses états d'âme. J'avais même pris l'habitude de la surnommer Cléo, surnom qu'elle affectionnait particulièrement. À vrai dire, Cléopâtre fut mon premier fantasme saphique... Je me projetais en rêve à l'époque des pharaons, où j'incarnais l'une de ses fidèles prêtresses. Lovée l'une contre l'autre dans des draps aux motifs somptueux, je débutais mes caresses alors que ma reine abandonnait paisiblement son être à mes tourments de jouvencelle. Dans ces rêves, son corps et ses nuits m'appartenaient entièrement...

J'avais 19 ans lorsque Cléo fêta sa majorité. Et c'est lors de sa soirée d'anniversaire que j'initiai ma cousine aux joies du sexe. Elle, presque toujours raisonnable et studieuse, se laissant transporter innocemment au cœur de mes fantasmes et au gré de mes désirs de jeune femme rebelle et frivole. Petite fille à papa et bourgeoise jusqu'au bout des doigts, elle convoitait déjà l'université de Paris alors que j'avais abandonné l'école assez tôt pour me consacrer pleinement aux plaisirs presque infinis qu'offre la jeunesse. J'embrassais la liberté depuis toujours tandis que ma cousine ouvrait les bras à une vie ordonnée.

Cléo représentait tout pour moi quoique nous étions très différentes l'une de l'autre. Épanoui, mon corps reflétait mes origines hollandaises et, au contraire de Cléo, que seule la démarche suffisait à faire tourner toutes les têtes, j'envoûtais grâce à mon regard d'un bleu profond et troublant. Mon visage de gamine, auréolé d'une chevelure fine et dorée, complétait bien ma silhouette pulpeuse, offrant des courbes aussi pleines qu'affolantes.

Toutes mes pensées était tournées vers Cléo par cet après-midi torride d'août, conduisant la voiture tandis qu'elle somnolait à mes côtés. Elle était vêtue d'un mini-short blanc contrastant admirablement avec sa peau basanée et, grandement émoustillée par la scène que je me m'adonnais à contempler, je ne pus me résoudre à détourner mon regard de ses seins saillant si joliment de son micro-débardeur rose. Ils bondissaient à chaque secousse, ces dernières agaçant ma moule devenue terriblement moite. Je posai une main sur sa cuisse, ravie par la douceur de son entrejambe que je parcourus lentement jusqu'à la croupe. Elle soupira en esquissant un sourire ingénu alors que l'emplacement du site se dessinait au loin.

Étonnement, c'est elle qui m'avait proposé de visiter cette plage au nom mystérieux. Toutes deux fascinées par ce lieu de tous les plaisirs, nous ne savions que l'essentiel à propos de cet endroit réputé pour ses boîtes de nuit et ses clubs échangistes. L'inconnu nous rendait fébriles et il planait un certain suspense sur ce qu'allait être nos futures expériences !

Je garai la voiture près d'un hôtel où la plage, longue de plusieurs kilomètres, s'étendait à perte de vue. Effleurés par la caresse du vent marin, des dizaines de corps nus se prélassaient sous un soleil tiède... C'était le paradis terrestre, j'hallucinais ! Un peu plus loin vers le nord, la jetée disparaissait pour faire place aux rues bondées de la cité où des centaines de personnes vaquaient à diverses occupations. Et aussi intense qu'était mon excitation de découvrir les lieux les plus sexy de la région, j'avais vraiment envie de me rafraîchir un peu avant d'ouvrir la chasse aux mecs...
LA SUITE DU
VERTIGE DE MA COUSINE...
Par VERTIGO - Publié dans : VERTIGE PLUME
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Ça y est, il est dimanche soir. Déjà, je dois me rendre à la gare ; encore un week-end de grillé. Entre les afters télés pathétiques chez une bande de potes alcolos et les soirées en boîte où les filles coincées vous font passer pour de gros rustres à votre propre regard, c'est encore deux jours de ma fin de jeunesse qui viennent de s'envoler. Ainsi, l'hiver avance et je m'enfonce dans la dépression sexuelle... Au début d'une période de célibat, on se dit que l'on en sera vite sorti et que c'est toute une orgie de plaisirs nouveaux qui rapidement entrera dans notre vie ; c'est sans compter sur le froid polaire qui s'installe, dans la rue, dans le cœur des hommes, dans le corps des femmes…

L'attente semble infinie sur ce quai glacé. Ma vue est brouillée par l'épais nuage de vapeur que j'exhale ; les gens passent comme des ombres au loin dans la nuit sans fin. Deux épaisses colonnes de lumières finissent par jaillir du néant, le train fait son entrée. De l'extérieur, je ne perçois qu'une lumière jaune filtrant avec peine à travers la buée. Les portes s'ouvrent ; personne ne descend. La plupart des gens ignorent jusqu'à l'existence de ce village solitaire. Je monte les marches rouillées pour pénétrer dans le wagon fumeur aux allures de train nucléaire russe et déjà les effluves me coupent la respiration. J'inspire à fond, je ressens le besoin de détruire ce qui reste de sain dans mon corps, de m'imprégner de la mélancolie environnante comme une preuve d'amour et de compatissance avec moi même. Une place libre, je m’installe.

L'épaisse chaleur qui m'entoure maintenant me brûle les yeux, la sécheresse et la fumée me prennent la gorge. J'observe ; les punks, les toxicomanes et les prostituées semblent incrustés dans ce paysage intemporel, quelques personnes âgées fumant timidement leur pipe, de jeunes âmes perdues au regard fixé dans le vide. Il y a enfin la frêle créature en face, comment ne pas la remarquer? La plus belle femme du monde se trouve là juste devant moi. Certes je suis le seul à le savoir, à voir à travers ce qui la cache. Recroquevillée sur son siège, emmitouflée sous le capuchon de son pull gris, fumant lentement un joint odorant, l'authenticité de son regard dépressif m'illumine. Nos regards se croisent, elle me sourit. Timidement, mais avec une candeur et une franchise rare. Comme dans un rêve, un courant presque imperceptible s'installe entre nous. Je crois percevoir au fond de son regard les souvenirs d'une époque heureuse qui n'a jamais existé, la même nostalgie, le même déracinement, la même douleur. Loin de toutes ces princesses paranoïaques qui craignent le moindre contact, ma sœur d'infortune semble m'accorder une confiance infinie... 
LA SUITE DU VERTIGE D'UNE RENCONTRE COQUINE DANS UN TRAIN...
Par VERTIGO - Publié dans : VERTIGE PLUME
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Les mouvements de la jeune maiko s’arrêtent. Elle dépose le chawan sur le tatami et y déverse un peu d’eau chaude.

L’odeur du thé emplit mes narines. Les sons saccadés du koto s’infiltrent dans mes pores et font frissonner mon corps de spasmes erratiques. Je regarde les chairs appétissantes de ma tendre geisha, elle a bougé légèrement, ses yeux se sont relevés. Mon sexe se gonfle. La pression de la chair chaude de la jeune maiko s’intensifie, les pointes de ses oppai minuscules s’incrustent plus profondément dans mes chairs.

Les mains de ma kan-geiko ont franchi la frontière du tatami. Elles s’installent et restent là, immobiles un moment, sur mes genoux. Puis elles glissent lentement jusqu’à mon tronc et s’y appuient légèrement, faisant basculer mon corps dans le vide, je viens m’affaler doucement sur le corps de la jeune et gracile maiko stratégiquement déployé sur le tatami. Je sens parfaitement la structure de ce corps trop fragile s’encastrer dans mon dos, ses petits seins rigides transpercer mes omoplates, mes fesses viennent reposer avec impudence dans l’étroite et chaude vallée formée par la fissure qui marque la rencontre de ses jambes fluettes, celles-ci se sont volontairement déployées et encerclent maintenant mes jambes en une étreinte énergique.

Pendant ce temps, ma kan-geiko s’est elle aussi discrètement glissée sur mon ventre ; elle s’y incruste habilement, déployant ses membres autour de mon corps, rejoignant les membres de la jeune maiko pour former ainsi une enveloppe compacte et inexpugnable, comme un yoni, à l’intérieur duquel mon corps tout entier se métamorphose en un impudent lingham.

Mon corps s’agite. Les chairs chaudes qui m’enrobent se resserrent, s’échauffent et s’agitent au rythme des palpitations de mon corps. Le sang court dans mes veines qui se gonflent jusqu’au paroxysme, frisant l’éclatement.

Puis l’étau se desserre. Les membres se déploient, le corps de ma kan-gaiko glisse doucement vers le bas, le long de mon ventre, ses lèvres chaudes lèchent au passage mes chairs grisées par une tension extrême. Elle s’installe là, près de mon sexe en ébullition qu’elle enserre de ses doigts, elle attend ainsi inerte le bibin kuru, l’érection du volcan.

L’odeur du thé remplit mes narines. Les plaintes du koto martèlent mes sens. La jeune maiko-san est agenouillée tout près, portant de ses deux mains le chawan aux magnifiques textures de raku. Elle appuie ses coudes sur ses genoux, fait une longue révérence et elle s’immobilise jusqu’à ce que ma kan-geiko perçoive sa présence à ses côtés. Ma kan-geiko se relève et accepte le chawan des mains de la jeune maiko. Elle soulève le chawan de ses deux mains, le retourne vers moi pour me montrer le dessin floral qui en garnit la paroi principale, elle fait une longue révérence. Elle soulève lentement le chawan en le fixant des yeux et elle ingurgite le chaud liquide d’une seule rasade.

Elle est là, immobile devant moi, ses yeux fixent mon pénis au bord de l’éclatement, la bouche encore pleine du chaud liquide, elle se penche sur moi et elle engouffre doucement mon pénis entre ses lèvres hermétiquement closes.

Je sens ses lèvres glisser le long de mon sexe, en exerçant une forte pression, ses lèvres écartent au passage mon prépus ; elle appuie plus fortement sur sa mâchoire égratignant mes chairs fragiles de ses dents aiguisées, mon sexe se gonfle de sang, il est au bord de l’éclatement, il plonge dans le brûlant usucha , pénètre plus profondément, pour atteindre l’étroit couloir du shokudo et s’y maintenir un instant ; puis elle resserre et desserre l’étreinte, jusqu’à l’expulsion de mon visqueux sperme dans le liquide encore tout chaud, qui gonfle la gorge de ma kan-geiko, chaud élixir qu’elle ingurgite avec passion.

C’est ainsi que j’ai atteint le wao-kei-sei-jaku, la suprême harmonie, je me suis endormi, j’étais satisfait.

J’ai du rêver. Les sons de la ville me tirent de mon sommeil : des klaxons, des crissements de pneus, le bourdonnement de la ville au loin, des cris d’enfants, des feulements sinistres d’animaux, des sons domestiques, des bruits de chaudrons, des tintements de clochettes, des éclats de voix, des rires saccadés de femmes hystériques, des froissements de papier, le gong mystérieux d’un temple shintoïste, j’ai du rêver, je me réveille enfin.

LA SUITE DU VERTIGE D'UNE GEISHA SOUMISE...

Par VERTIGO - Publié dans : VERTIGE PLUME
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